«Les faits sont d’une extrême gravité. […] On n’avait jamais vu en France une ville avec un tel degré de corruption et de décomposition. » Le procureur Patrice Amar, du Parquet national financier (PNF), n’a pas mâché ses mots, lundi, lors de son réquisitoire, au procès de l’affaire Dassault, ce système d’achat de voix présumé qui a permis au milliardaire d’être élu maire de Corbeil-Essonnes, puis à son salarié et homme de paille Jean-Pierre Bechter de lui succéder en 2009.
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